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Biographie de Lucile VIGNON

 

Après des études d’art dramatique à l’école d’Yves Pignot L’entrée des Artistes, Lucile Vignon entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, puis part se perfectionner en Italie.


La première partie de sa carrière est dédiée à l’art lyrique et se déroule en France et à l’étranger, Bologne, Rome, Trévise, Cosenza, Barcelone, Zurich, Athènes, Pretoria, Paris,Montpellier, Nantes, Compiègne, en compagnie des plus grands chefs d’orchestre, Santi, Franci, Gavazzeni, Campanella, Massimo de Bernard, Carella, Fournet, Casadessus, Mercier, Guingal, Harnoncourt ...

Mezzo soprano, elle interprète avec succès les plus grands rôles des répertoires lyriques français - Mignon (Mignon, Thomas), Taven (Mireille, Gounod), Nicklausse (Les contes d’Hoffmann, Offenbach), Périchole (La Périchole, Offenbach), Hélène (La Belle Hélène, Offenbach), italien - Rosine (Le Barbier de Séville, Rossini), Pippo (La Pie Voleuse, Rossini), Cenerentola (Cenerentola, Rossini), Néris (Médée, Cherubini), Favorite (La Favorite, Donizetti), Sara (Roberto Devereux, Donizetti), Fenena (Nabucco, Verdi), Maddalena (Rigoletto, Verdi), Orphée
(Orphée et Euridice, Gluck), anglais - Didon (Didon et Enée, Purcell) ...

Sa discographie comprend Le Déluge et Henri VII (Saint-Saëns), Mignon (Thomas), Le Llanto por Ignacio Sanchez (Stavros Xarhakos).

En 2005, Lucile Vignon décide d’infléchir son travail artistique en lui intégrant une dimension spirituelle. Préoccupée de longue date par le fait religieux, dont elle explore avec ouverture d’esprit et lucidité les expressions tant occidentales qu’orientales, et par le personnage du Christ, en lequel elle devine et perçoit des valeurs exceptionnelles et véritablement révolutionnaires, elle fonde l’association Teresa dans le but d’écrire et concevoir des spectacles fusionnant art dramatique, art lyrique et spiritualité.

Elle écrit et produit ainsi des adaptations scéniques de grands textes religieux ou mystiques: «Le Château de l’Âme» (Sainte-Thérèse d’Avila) en 2006, «l’Évangile de la Grâce» (Saint- Luc) en 2008. Ces spectacles, qui ne sont pas des exégèses, sont conçus pour toucher leur public sans prosélytisme, avec beaucoup de sobriété.

 

Biographie de Noriko SEZAKI et
Hitomi OBARAGI

 

Hitomi OBARAGI commence le piano à l’âge de 4 ans à l’école de musique Yamaha, et écrit ses
premières compositions à l’âge de 6 ans.

En 2003, elle entre à l’université de musique Musashino, obtient la licence en 2007 et le
diplôme de maîtrise en 2009.Lauréate de plusieurs concours internationaux, Hitomi OBARAGI remporte en 2004 le prix Alliance des Nations, au PTNA piano competition, et le troisième prix du concours international de piano bulgare-japonais en 2008. Elle est lauréate du prix de musique bulgare.


Hitomi OBARAGI donne de nombreux concerts, Rainbow 21 au hall de Suntory en 2009,
Sapporo en 2011.

Née au Japon à Kyoto, Noriko SEZAKI commence à étudier le piano à l’âge de cinq ans.

Elle a obtenu le diplôme de musique à “Doshisha Women’s College of Liberal Arts” dans la classe
de M. Claudio SOARE S. En 2004, elle est entrée à l’Ecole Normale de Musique de Paris, en cours de perfectionnement, elle y obtient un diplôme supérieur d’exécution du piano dans la
classe de M. Edson ELÌAS et M. Dominique GEOFFROY, et un diplôme supérieur de concertiste de musique de chambre dans la classe de Mme Chantal de Buchy. En 2007, elle est entrée au cours de Concertiste du piano dans la classe de M. Erik BERC HOT . En 2011, elle est entrée dans la classe d’Accompagnement au Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles.
Lauréate de plusieurs concours internationaux, elle a obtenu le Troisième Prix au Mahler
International Piano concours en 2001 (République Tchèque), et le Deuxième Prix au Sakaï International Piano concours en 2002 (Japon).


En concert, elle a interprété le troisième concerto de Beethoven avec le Osaka Chamber
Orchestra, les douzième, quatorzième et vingtième concerto de Mozart avec le Chamber
Ensemble Musica Pragensis. Elle donne des récitals en soliste et en musique de chambre en
Allemagne, Italie, République Tchèque, France, Belgique et au Japon